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Créé ton blog gratuitle 05-05-2011 23:31
Les Portes de l'Espoir 2012
En accréditant très clairement, hier matin, au micro de Jean-Pierre Elkabbach, l'hypothèse de sa candidature à la Présidence de la République en 2012, Jean-Pierre Chevènement a rouvert les portes de l'Espoir.
Espoir que cette campagne soit l'occasion pour la gauche et pour la France de se poser la vraie question : celle de la place, dans le tourbillon de la mondialisation libérale, qu'il faut refaire et faire à l'Homme, au Travail, à la Fraternité, au Citoyen, et donc à la Nation républicaine, une, laïque et sociale.
Espoir que cette campagne ne soit pas qu'un choc des égos, dans une certaine communion à la pensée unique FMI-CAC 40, DSK-Sarkozy.
Espoir que cette campagne soit l'occasion de montrer la voie d'un rehaussement de la fonction présidentielle, et à travers elle de la France, galvaudée depuis quelques années.
Cette candidature d'Espoir va faire du bien à la gauche, toujours largement en panne d'audace face à la crise de l'Euro, au rouleau compresseur des marchés financiers, à la dictature du capital hypermobile, aux ravages de ces échanges commerciaux dits "libres", et qui sont en réalité aliénants, tant pour les Suds exploités que pour les Nords mis au chômage.
Cette candidature d'Espoir va faire du bien à la gauche, toujours largement en panne de courage face à l'exigence d'autorité légitime, dans l'éducation, les politiques de sécurité, la défense de l'unité de la République.
Quelques esprits limités comme Noël Mamère ont accompagné cette annonce d'une double critique, deux fois stupide. Primo, sur "l'âge du capitaine", comme on dit : pauvre Noël, "le temps ne fait rien à l'affaire", seuls comptent la clairvoyance et l'étoffe du candidat. Secundo, "cette candidature divise la gauche" : comme si l'élection présidentielle était un problème de camembert dont il faudrait couper des morceaux, les moins nombreux, et donc les plus gros possibles.
La gauche sera forte si elle se hisse à la hauteur de l'enjeu : dissiper le nuage de désespérance qui bouche l'horizon des jeunes Français !
La gauche sera forte si elle se donne pour objectif de reconquérir les leviers de la souveraineté du peuple, de rendre à nouveau les citoyens maîtres de leur avenir, de refaire France, de conquérir la justice, de parler au monde !
Jean-Pierre Chevènement représente ce courage, cette morale, cette audace, qui doit battre au coeur de la gauche, de la République, et de la France.
Espoir que cette campagne soit l'occasion pour la gauche et pour la France de se poser la vraie question : celle de la place, dans le tourbillon de la mondialisation libérale, qu'il faut refaire et faire à l'Homme, au Travail, à la Fraternité, au Citoyen, et donc à la Nation républicaine, une, laïque et sociale.
Espoir que cette campagne ne soit pas qu'un choc des égos, dans une certaine communion à la pensée unique FMI-CAC 40, DSK-Sarkozy.
Espoir que cette campagne soit l'occasion de montrer la voie d'un rehaussement de la fonction présidentielle, et à travers elle de la France, galvaudée depuis quelques années.
Cette candidature d'Espoir va faire du bien à la gauche, toujours largement en panne d'audace face à la crise de l'Euro, au rouleau compresseur des marchés financiers, à la dictature du capital hypermobile, aux ravages de ces échanges commerciaux dits "libres", et qui sont en réalité aliénants, tant pour les Suds exploités que pour les Nords mis au chômage.
Cette candidature d'Espoir va faire du bien à la gauche, toujours largement en panne de courage face à l'exigence d'autorité légitime, dans l'éducation, les politiques de sécurité, la défense de l'unité de la République.
Quelques esprits limités comme Noël Mamère ont accompagné cette annonce d'une double critique, deux fois stupide. Primo, sur "l'âge du capitaine", comme on dit : pauvre Noël, "le temps ne fait rien à l'affaire", seuls comptent la clairvoyance et l'étoffe du candidat. Secundo, "cette candidature divise la gauche" : comme si l'élection présidentielle était un problème de camembert dont il faudrait couper des morceaux, les moins nombreux, et donc les plus gros possibles.
La gauche sera forte si elle se hisse à la hauteur de l'enjeu : dissiper le nuage de désespérance qui bouche l'horizon des jeunes Français !
La gauche sera forte si elle se donne pour objectif de reconquérir les leviers de la souveraineté du peuple, de rendre à nouveau les citoyens maîtres de leur avenir, de refaire France, de conquérir la justice, de parler au monde !
Jean-Pierre Chevènement représente ce courage, cette morale, cette audace, qui doit battre au coeur de la gauche, de la République, et de la France.
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